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Supervision

pour les travailleurs psycho-sociaux

Travailler au cœur de la souffrance humaine, sociale, psychique, n’est pas une mince affaire. Cela soulève des défis complexes, autant pour l’autre que pour soi-même. Comment aider de façon saine ; saine pour celui que l’on accompagne et pour soi-même ? Et comment articuler cela dans une dynamique institutionnelle ?

 

La pratique de supervision est une démarche qui donne une forme de garantie éthique et de sécurité : prendre du recul, donner son travail à voir à plus expérimenté, identifier les endroits où l’on est personnellement touché, rencontrer les taches aveugles, etc. Mais c’est aussi une formidable occasion de prendre soin de soi, en même temps que de l’autre. À l’heure où le burn out des soignants prend une ampleur alarmante, il est sans doute bon de se rappeler que la supervision est aussi une façon de veiller à ce que sa pratique professionnelle reste équilibrante pour soi-même.

 

En m’appuyant sur mon expérience d’une bonne vingtaine d’années dans les institutions psycho-sociales et sur toutes les collaborations pluridisciplinaires engagées tout au long, je vous propose des temps de supervision individuelle pour réfléchir à votre pratique.

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  • Déplier les cadres et contextes dans lesquels vous exercez.

  • Soutenir un travail d’élaboration et nourrir la réflexion autour de l’accompagnement de votre population.

  • Et, puisqu’un de vos outils principaux c’est vous-même, aller rencontrer comment vous êtes vous-même mobilisé par ces situations, pour que votre personnalité et vos expériences deviennent un point d’appui plutôt qu’un frein.

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